Depuis ces derniers jours, les rencontres diplomatiques s’accélèrent. De sommet en sommet, le Moyen-Orient espère retrouver l’accalmie. Mais dans l’ombre, l’agitation se poursuit.
Avec l’arrivée du printemps le calendrier diplomatique connaît une nouvelle accélération. Entre le dossier du nucléaire iranien, la situation syrienne et l’impasse palestinienne, la communauté internationale s’affaire pour trouver de nouvelles options diplomatiques pour réduire les tensions régionales. Pour éviter l’explosion, l’Occident a relâché la pression sur le régime syrien de Bachar el-Assad, principal allié de l’Iran. En confiant une mission diplomatique à l’ancien Secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, les pays occidentaux souhaitent obtenir une meilleure conciliation du côté russe et chinois.